Le consortium 3D SHS
Un consortium 3D pour les SHS A propos du Consortium 3D Labellisé en 2014 par IR* Huma-Num, le Consortium 3D SHS a été renouvelé en 2018, puis en 2021, et entre dans sa dernière phase du cycle de vie des consortiums. Né du constat de l’explosion des initiatives autour des usages de la 3D pour les Sciences Humaines et Sociales. Il devenait alors nécessaire de pouvoir définir des standards communs afin de pouvoir faire communiquer ses données entre elles et faire aussi parler les communautés de chercheurs. Élaboration et diffusion de bonnes pratiques L'une des tâches importantes du consortium fut la production et la mise à jour de recommandations issues des retours d’expériences de tous les participants. Ces recommandations ont été par la suite reprises pour définir des cahiers des charges (e.g., plan de numérisation du ministère de la Culture), des schémas de métadonnées (en collaboration avec le consortium MASA) et des standards de formats de fichiers (notamment pour l’archivage au CINES). La 3D étant un domaine en évolution forte et constante, le consortium joue aussi un rôle de veille technologique et de diffusion des usages de ces nouvelles technologies. Un effort est donc fait sur la formation interne et externe, ainsi que sur la communication (participation à des colloques nationaux/internationaux , publications, .. etc.). Développement, mise en place d’outils pour la communauté cible : Le Consortium 3D SHS met en œuvre des outils pérennes au service de la communauté scientifique. C’est ainsi que sont nés :
Collaborations nationales et internationales Le consortium 3D SHS étant naturellement interdisciplinaire de par son aspect technologique en direction des SHS. De ce fait, de nombreuses collaborations ont émergées avec un certain nombre de partenaires nationaux tel que le Consortium Masa, la plateforme NDAME mais aussi des collaborations européennes telles que les consortia DARIAH-EU / Parthenos (white paper ) / ARIADNEplus pour les questions liées aux standards, à la visualisation 3D ou encore l’interopérabilité des données. D’autres contacts ont été pris avec notamment le groupe IIIF.
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